Amélie Nothomb

En ces temps de rentrée littéraire, l’analogie s’impose.

Parce que j’écris et que je ne publie pas. (Il paraît qu’Amélie Nothomb fait pareil) Bref, mes brouillons s’accumulent sur le disque dur de mon ordi, mais j’ai beau les améliorer, je ne suis jamais satisfaite et ils restent en souffrance ! Bon, au moins, je ne peux pas être soupçonnée, a contrario de celle qui donne son nom à cette note, d’attendre une publication post-mortem pour faire monter la valeur de ces écrits!

Bref. Les vacances terminées, vient le moment des bilans. Si celui du blog est mitigé; le bilan familial, lui, est incontestablement positif. L’éloignement et les moments partagés ont décidément des vertus peu communes. J’ai vu les enfants évoluer comme ils ne l’avaient pas fait en un an. Le mari s’est détendu comme il ne l’avait pas été en un an et le bénéfice semble se prolonger après notre retour. Ce qui n’avait pas été le cas les autres années. Alors comment se fait-ce ? ça restera un mystère ! Mais personnellement, ça me convient.